Elle le devient.

Plutôt que d'en faire un ennemi qu'il faut combattre chaque jour, usé son énergie a changer sa nature, sa condition, sa personnalité, faire des efforts pour rencontrer des gens qu'en fin de compte on avait pas vraiment envie de rencontrer et perdre son temps dans des lieux qui n'ont rien a voir avec soi, je préfère que celle-ci devienne une allier, une force, un plus qui fait de moi quelqu'un de différent, qui vit différemment, qui a du temps pour se cultiver et jouer de la musique, s'occuper de soi et profiter du fruit de son travail sans que cela ne soit une contrainte pour qui que se soit, par là je pense à de l’égoïsme.
J'en viens parfois a me demander si en fait je serais fait pour vivre à deux, car j'ai besoin de ces longs moments de solitude pour me ressourcer, et imposer cela à une autre personne voir ses enfants est égoïste je pense.

Peut-être que le fait d'accepter sa solitude quelque part est un Choix de vie.

Coucou Julien
Je pense que c'est un choix

de vie, je vais faire un post pour vous expliquer mieux mon ressenti, mais ici je vais déjà me dirriger vers le tiens pour y répondre...

Je pense que à force de vouloir forcer le destin on fini par s'oublier nous même, oublier qui on était, et comme tu le dis si bien, on s'épuise à chercher des "amis" mais pourquoi faire ??

Seul on à une chance incroyable de pouvoir faire ce qu'on veux!! par contre moi j'aime quand même la vie à d'eux! je parle plus de solitude niveau amitié mais pas en couple! je sais pas si aujourd'hui à mon âge je pourrais vivre seule, car j'ai besoin aussi de savoir que je suis aimais car l'amour finalement c'est plus fort que tout....

Moi je dis, faut pas le chercher le bonheur, il faut le créer, si toi même tu te sent heureux dans ta tête et dans ton corps, dans ta vie tout simplement, et bien quand tu sera entouré (collègues, amis, famille) les gens viendrons naturellement vers toi, et crois moi je sais de quoi je parle car sur moi ça marche^^

Bon courage et surtout sois heureux c'est tout ce qui compte au final

En fait je pense que le fait de ressentir une certaine frustration par rapport au fait d'être seul est un sentiment primitif qui nous poussent a aller vers nos semblables, car l'union fait la force, question de survie. Seul dans la foret je cours le risque d'être bouffé par des loups.

Pour ce qui est de vivre en couple ma réponse sera identique, question de survie pour l'espèce, malgré le fait d'être conscient qu'on est plus de 7 milliards.

Chercher ou créer le bonheur, perso je ne sais pas ce qu'est le bonheur, est-ce un concept, un idéal, un mensonge ou une simple croyance ?
Partons du principe que le bonheur existe, y a t il plusieurs chemins pour y arriver, sommes nous obligés de passer par la case départ, fiançailles, mariage, naissance et mort.
Certains sont partis seuls dans la foret pour méditer et atteindre l'illumination, est-ce une forme de bonheur ?
Le bonheur/malheur est une question personnelle ou une question de société ?

Invité

Ouai, ouai je sais j'ai mis du temps à répondre mais bon à 5h du mat, j'ai trouvé l'inspiration et surtout le courage. C'est bien, nan?? : p

Pour moi, j'ai pas l'impression que se soit un Choix de vie mais plutôt on s'y adapte à fur et à mesure par rapport à nos Choix, nos décisions et ce que la vie nous offre. Une adaptation...

Tu dis que tu en viens parfois a te demander si tu es fait pour vivre à deux, car tu as besoin de ces longs moments de solitude pour te ressourcer, et qu'imposer cela à une autre personne voir ses enfants est égoïste.

C'est parce que tu es habitué a ce mode de vie, comme on dit quand l'amour nous tombe dessus cela change toute notre perceptive et ta façon de penser changera aussi tu aura moins souvent besoin de ces moment de solitude néanmoins il te faudra toujours ton petit cocon rien qu'à toi (ce qui es normal en tant que solitaire je comprend) mais il sera moins présent. L’égoïsme rentre vraiment en jeu sur le faite de faire un enfant là c'est purement égoïste parce que tu pense qu'à ton bien être et celui de ton conjoint(e) pas au futur de ton enfant.

Après pour en revenir a ton 2eme commentaire, Tu as déjà mis des commentaires (surtout sur l'autre fofo pour te taper tes amies) mais au final tu peux avoir un enfant derrière le dos ou elle peux te l'apprendre mais le pire sera fait ( imagine toute les possibilités, mis ou pas, craquage ect le temps qu'on me comprend ça va lol) et là rentre le faite que c'est ton instinct primitif qui a pris le relais sur les "bonnes valeurs" et au final tu aura pensé qu'à toi et tes pulsions.

Après cherché ou créer le bonheur ne sert à rien, le bonheur c'est comme l'amour au final, il ne se cherche pas et ne se créée pas il vient sait tout pour certain en manière continue et pour d'autre en bride faut savoir apprécier le moment les plus simples. ( ta parler de sa, sa ma fait penser "A la recherche du bonheur" avec Will Smith, bon lui à provoquer son destin pour atteindre le sommet

) mais c'est un bon exemple dans tout les cas en tout cas pour moi, ce film m'a fait réagir.
J'ai l'impression que tu pars assez négatif par " Imaginons que le bonheur existe??" Bien sur qu'il existe,sinon tu ne serai pas là à jouer de la guitare ou autre que tu aime faire (et moi je ne serai plus de ce monde si il n'étais pas là. Le problème sait qu'on a tendance à croire que c'est soit tout rose ou tout noir bon parfois c'est entre les 2 mais sa sa devient compliquer dans la tête des gens pour la plus part ( tout dépend sa façon de penser après).
Si tu attend un bonheur "éternelle" dans ta vie, je pense que ça va être très dur. C'est ce que je pense pour moi, je ne serai jamais rempli de bonheur dans ma vie car trop de traumatisme et trop de questions au final mais je sais q'un jour je le serai (pas totalement) mais pour moi je le serai vraiment quand j'aurai LA personne avec qui partager (Ami, petit ami ou simplement des passages dans ma vie).
Dans tout les cas le bonheur est personnelle à toi de voir comment tu veux qu'il apparaît cher Julien ...

Prend exemple sur japonais: Crois tu qu'il arrive à leur sagesse comme nous réagissons?? Nan, et tu le sais très bien cela prend des dizaine d'année avant qu'il arrive à combattre leurs démons et pulsions donc à toi de voir comme tu vois ton bonheur et d'essayer de faire en sorte qu'il y ressemble

Invité

P.S: Si tu te pose encore la question "si le bonheur/malheur est une question de société ? C'est que tu as rejoint un peu les brebis qui la suis. Ooooh Rock and Roll ou pas Julien ??? Looool

Heylo en forme pendant que nous dormons Annif

J'ai pas réussi à suivre tout ce que tu as écris Heylo, je tiens juste à mettre le point sur un détail
Celui de l'égoïsme car on ne pense pas à nos futur enfant, je n'appelle pas ca de l'égoïsme car tant qu'enfant n'est pas la, rien n'est ...
C'est bien facile de dire plus tard quand j'aurais mon enfant je ferais ci ou je réagirais comme ca ect mais il n'en ai rien ...
Tant qu'on en a pas, on ne peut pas savoir, on observe les papas, les mamans autour de nous, cela nous donne l'impression de savoir ... mais non

, on ne sait pas

Peut-être que Julien serait le genre de père qui laissera le bébé à la maman et sera dans son coin, ou peut etre sera-t-il de ses papas qui vont se cacher avec bébé dans les bras pour enfin etre seul avec et que ce sera ca ses moments de solitude ...

En faite je ne sais pas si j'ai bien compris ce que tu as voulu dire et peut etre je suis hors sujet mais c'est pas grave ca anime notre petit monde à nous

Pour ce qui est de "l'adaptation" je suis assez d'accord, bien que certains n'y parviennent pas (mais il y a tellement de facteurs a prendre en compte que je me demande si on peut généraliser).

Peut être que si "l'amour" nous tombe dessus on peut avoir de nouvelles réactions, jusqu'ici je ne conteste pas, par contre le sentiment de vouloir un enfant est pour moi au delà du désire personnel, c'est un instinct primaire qui nous donne ce sentiment d'envie qui peut transparaitre comme un certains égoïsme, justement parce que nous sommes, si je puis dire, "programmer" pour cela, d'ailleurs même les LGTB désirent des enfants, c'est un point communs que l'on a tous sur cette terre (c'est innée), mais il y a une minorité de personnes qui font des enfants en pensant qu'à eux, enfin j'en sais rien (ça me rappelle la chanson de Goldman "elle a fait un bébé toute seule")

Petite parenthèse, je n'ai pas dit que je voulais me taper mes amies (bon j'en ai pas lol), mais que tout les hommes on, au moins une fois, pensé à une copine, amies, relation de travail en se masturbant. Pour la suite du paragraphe j'ai pas tout saisi......

Maintenant la vrai question est : c'est quoi le bonheur, parce que j'ai l'impression que cela peut être différend selon les personnes, l'origine, religion etc... ?

Au contraire je ne me considère point comme un mouton, sous entendu quand je dis "le bonheur est peut être une question de société ? Je pense au fait que l'on soit formaté pour, et si je me pose la question c'est que je ne le suis pas. Exemple : moi 35 ans, seul, pas d'enfant, et cela depuis toujours, je suis considéré (en général, pas tout le temps Non plus) comme une sorte de marginal, mec bizarre, anti sociale etc, que des choses négatives aux vues des autres (pour moi marginal n'est pas péjoratif, ni anti sociale d'ailleurs, et ni bizarre lol). C'est notre société qui nous formate (dès l'entrée à l'école) a être de tel ou tel façon, a penser de tel ou tel façon, nous ne sommes donc pas à la source, libre de nos pensées. La preuve quand on pense différemment et qu'on l'exprime, les autres nous rejettent, on n'est mit, ou on se met, ça dépend du point de vue, à l'écart. On nous oblige presque a être différemment. Je ne pense pas que se soit ni positif, ni négatif ce que je dis, ce sont des questions que je me pose et dont je 'ai pas la réponse.

Peut être que le bonheur en fait c'est simplement le fait de ne pas en être conscient, de ne pas y penser, le fait de se poser la question traduit d'un mal être. Peut être.

Julien tu aurais été heureux en Afrique

Ma foi peut être, ce qui est sur c'est que je me sens plus libre dans les pays du Maghreb par rapport à la France, ici tout est interdit et au lieu d'avoir des chaines aux pieds c'est mon portefeuille que l'état enchaine.

Sinon je voulais rajouter que dans des régions ou l'on meurt de faim et de soif, la conception de bonheur est secondaire (minimum), ces peuples sont en "mode survie", pas le temps de penser au bonheur, ce qui est prioritaire c'est gagner son pain pour la journée, demain on verra : inchallah.

Invité

Malheureusement pour avoir accès au bonheur, il faut connaitre des période de malheur...
il Ya pas un bonheur absolu, ça existe pas, il y a juste des périodes où on est bien çà ne dure jamais ça peut être des moment qu'on a vécu, des personnes qu'on a rencontré des petits rien( chanson, endroit...) qui nous font sourire qui nous font plaisir...

Le bonheur peut être différent selon la personne oui tout a fait d'accord, mais ya pas de relation avec l'origine ou la religion, c'est un sentiment de satisfaction que tout le monde peut ressentir.
Quand tu parles parles de régions ou l'on meurt de faim, le fait de chercher a gagner leur pain et de "réussir" à survivre c'est une sorte de bonheur pour eux.Le bonheur est RELATIF

Je ne dis pas que tu as tord, mais quand je parle de bonheur, je pense plutôt a la conception que l'on en a fait en occident particulièrement. Une personne mourant de faim en Inde et qui déniche de quoi nourrir sa famille et lui même pour la journée est, pour moi, un aboutissement vital de survit. Bien sur que ce moment peut être assimilé à de la joie, donc un certain bonheur, mais basé sur quelque chose de matériel.
Ma vision était plus basé sur des relations humaines.

Je suis bien conscient que le bonheur est relatif, je me doute bien qu'il n’existe pas qu'un seul est véritable bonheur, ce genre de pensée unique m’exaspère, ce n'est donc pas la peine de l'écrire en majuscule.

Ce qui, je pense, est différend selon nos origines ethniques et religieuses, c'est la façon d'y parvenir, le chemin, le raisonnement, la réflexion diffère selon ces critères, c'est pour cela que malgré le fait que nous, humains, ressentons les mêmes sentiments et émotions, nous agissons différemment selon les mêmes critères. (en moyenne, pas tout le monde bien sur)